24 septembre 2011
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10:27
Par Francis Chaboussou
François Veillerette (Préfacier) , Georges Toutain (Postfacier)
Les effets négatifs des pesticides sur les plantes cultivées peuvent aller nettement au-delà des conséquences d'un bouleversement des écosystèmes.
Francis Chaboussou (qui fut directeur de recherche et directeur de station de l'INRA) démontre ici, et ce fut une première, que c'est la physiologie même de la plante cultivée qui est perturbée par les pesticides, la rendant plus vulnérable aux agresseurs. Il montre que le recours massif aux pesticides crée des fragilités cher. les plantes... qui vont conduire d augmenter encore plus l'usage de ces toxiques pour tenter de réduire les nouveaux dégats causés par cette fragilité.
On a ici la meilleure illustration possible du véritable cercle vicieux dans lequel nous a conduit l'agriculture intensive depuis 60 ans, s'appuyant, pour tenter de pallier les déséquilibres qu'elle engendre inévitablement, sur la béquille chimique illusoire des pesticides" François Veillerette (MDRGF)
Francis Chaboussou (qui fut directeur de recherche et directeur de station de l'INRA) démontre ici, et ce fut une première, que c'est la physiologie même de la plante cultivée qui est perturbée par les pesticides, la rendant plus vulnérable aux agresseurs. Il montre que le recours massif aux pesticides crée des fragilités cher. les plantes... qui vont conduire d augmenter encore plus l'usage de ces toxiques pour tenter de réduire les nouveaux dégats causés par cette fragilité.
On a ici la meilleure illustration possible du véritable cercle vicieux dans lequel nous a conduit l'agriculture intensive depuis 60 ans, s'appuyant, pour tenter de pallier les déséquilibres qu'elle engendre inévitablement, sur la béquille chimique illusoire des pesticides" François Veillerette (MDRGF)